Sculpture végétale, Centre d’Art de la Maréchalerie de Versailles, 2011.
Métaphore de la façon dont l’urbanité se développe dans les territoires naturels, selon des voies tentaculaires comme les fleuves et les routes ; cette installation montre aussi le chaos, l’irrationnel de notre société et le peu de place laissé à l’élément végétal.